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. . l’imagination produit du virtuel au sens où c’est de la mémoire qui se fait future . . en s’offrant à la comparaison des actuels lorsqu’ils adviennent, qui se fait donc ainsi dessein, intention, etc., et à ce titre qui tente d’orienter l’actuel vers le virtuel attendu, . .
. . percepts+affects+concepts sont élaborés par la monade qui fait l’expérience de sa puissance, elle construit des écrans, qui deviennent des filtres, filtres qui ont tendance à devenir prédictifs en ceci qu’ils sont établis pour évaluer le poids beau-Δ-laid, bon-Δ-mauvais, ou vrai-Δ-faux, des in-formations reçus . . donnant forme à ce que la monade souhaite, la mémoire fait durée non seulement dans l’actuel mais aussi dans le virtuel . . et par extension, parce que le processus est le même, la mémoire se fait future au-delà du virtuel, dans le possible, dans le potentiel, et même dans l’impensable, l’inconnaissable . . l’inimaginable.
. . (distinguer intuition et imagination ?!)